Mon "Amie" Devient Ma Salope
Elle jouissait une énième fois, tandis que jarrêtais le moteur de la voiture. Ses joues étaient rouges tant elle était essoufflée, et ses jambes tremblaient dexcitation. Lorsquelle se releva pour sortir du véhicule, je pus admirer lampleur des dégâts, en constatant la mouille qui maculait son siège.
La porte nétait pas encore fermée que je la plaquais contre le mur en face de lentrée, et relevais sa robe pour prendre sa chatte dans une main. Elle étouffa un cri. Je me mis à titiller son bouton et elle laissa soudain séchapper un soupir de délivrance. Javais limpression que ma queue était en flammes. Je défis ma ceinture dune main, tandis que lautre continuait de sactiver entre ses jambes. Mon sexe jaillit de son antre et se dirigea entre les fesses de ma salope.
Elle était devenue ma salope. Ma chienne. Ma volonté de domination sétendit sur son corps, et mes doigts la défoncèrent dautant plus profondément que je désirais la posséder. Je souhaitais sentir ce quelle ressentait quand je la pénétrais et mon sexe coulissait désormais entre ses fesses tendues vers moi. Elle était à moi. Elle désirait que je la prenne comme lanimale quelle était, ce petit être bouillant de désir pour moi. Jabandonnai sa chatte et remontai vers son anus que je pris dun doigt. Il entra avec facilité entre ses chairs écartées, ce rose duveteux, trempé de sueur et de cyprine. Je la sodomisais bientôt avec trois doigts, lorsque je les retirai soudain pour y fourrer ma queue. Je la prenais, là, contre mon mur, en face de la porte dentrée restée ouverte, nous étions visibles pour quiconque passerait devant la maison.
Mais personne ne passerait. Parce quelle nétait quà moi. Elle tremblait sous les coups de butoir que je lui infligeais, et chacun de mes aller-retour en elle lui arrachait tantôt des soupirs et tantôt des hurlements, chacun plus significatif de son état de folie. Cétait moi qui devais moccuper delle. Cétait mon devoir de la soigner.
Je la pris soudain par les bras et la couchai sur la table de la cuisine où elle tomba, possédée par mon vit brûlant de désir. Elle trembla encore pendant un moment sous les coups que je lui mettais, puis je me tendis et mon sexe grossit une dernière fois. Et les chairs de ma salope sécartèrent dautant, tandis que je déchargeais en elle. Je la quittai pour que nous reprenions notre souffle.
Elle était couchée, à plat ventre sur ma table à manger. Nue. Tremblante. Elle était une petite chose, mouillée et peinant à se calmer. Elle était ma petite salope. On voyait le délire dans ses yeux, le délire de celle qui a trop joui, le délire fumant dun être de désir. Elle était une chienne. Haletante.
Jétais en train de développer pour elle un amour profond. Je me levai et me dirigeai vers elle. Ses yeux se fermèrent à demi et je sentis tout son corps se détendre, lorsque je lentourai de mes mains et la pris dans mes bras. Je la retournai sur la table, la mis sur le dos et lui adressai un baiser auquel elle répondit tendrement. Je passai mes bras sous elle et la soulevai. Elle fut portée comme ça jusque dans ma chambre à coucher, où je la déposai sur le lit. Elle écarta docilement les jambes et je maccroupis entre ses cuisses. Ma langue parcourut son sexe, goûtant à chacune de ses parties, puis sarrêta sur son clitoris gonflé de désir. Jentrepris de le sucer, de le lécher, de le mordiller. Elle gémissait différemment sous chacune de mes actions.
Je me sentais vampire. Je la suçais comme si ma vie en dépendait. Sa chatte navait pas détrempé. Jadorais sa mouille. Ma petite salope mouillait comme une fontaine. Mon sexe avait repris de la vigueur, et à nouveau je désirais la posséder entièrement. Alors je mappliquai dautant plus sur son bouton et dévorai son sexe jusquà ce quelle me crie de la prendre.
Lorsque finalement son cri déchira le rythme accéléré de ses gémissements, je quittai son sexe béant et posai ma bouche sur ses seins.
Derrière ses yeux mi-clos devait se dérouler un spectacle de sens, une synesthésie absolue faisant vibrer son corps. Puis dun coup sec, je la pénétrai. Elle gémit sous la surprise, mais déjà mes va-et-vient commençaient et elle saccrochait à moi, comme pour ne pas me perdre.
A nouveau elle était ma chienne. Lorsque je la prenais, elle nétait rien de plus que ma chose. Ma chose bouillante. Ma chose débauchée. Ma salope. Et ma main pétrissait son sein. Elle se tordait sous les spasmes de sa jouissance. Elle était comme un serpent qui ondulait.
Elle se fit boule au creux de mes bras. Ma petite salope maimait. Alors, pour lui montrer mon amour, je redoublai mes assauts et elle sembla sélectriser davantage. Ma queue arrivait bientôt au summum de sa résistance, et je sentis que jallais devoir éjaculer. Je me retirai alors de sa chatte et arrosai son bas ventre, ses seins, sa bouche. Elle se lécha les lèvres en me regardant droit dans les yeux.
Elle affirmait son statut de salope. Elle me défiait. Alors javançai un peu plus et plaquai ma bouche contre la sienne, goûtant ainsi à mon propre sperme. Après notre baiser, elle retomba mollement sur le coussin, et je mallongeai à côté delle. Je me mis à caresser distraitement son ventre, et, peu après, elle sendormit. Je constatai une dernière fois lexcitation dressée de ses tétons, et sombrai à mon tour.
Dans la nuit, cependant, quelque chose me tira de mon sommeil. Pas tout à fait réveillé, je me dressai sur mes coudes, pour découvrir ma salope, qui me suçait avec avidité. Sa bouche allait et venait sur ma hampe. Elle avait les yeux clos, toute prise par son activité. Je me recouchai complétement et me concentrai sur la fellation quelle moffrait.
Au fur et à mesure quelle agissait sur ma queue, javais limpression den découvrir de nouveaux recoins, rendus soudain vivant par la vigueur de sa bouche.
Cette fois-ci, jétais à sa merci. Elle me contrôlait tout entier, et maurait fait faire nimporte quoi pour que je puisse éjaculer dans sa bouche. Elle me suçait comme une folle. Bientôt je sentis un doigt venir peser sur ma rondelle.
Je ne dis rien.
Comprenant que je désirais quelle aille plus loin, elle se mit à masser mon anus avec lenteur. Mais déjà je sentais des vagues de plaisir me bercer. Puis, elle enfonça son majeur, et mon cul laccueillit volontiers. Je sentis ma rondelle sécarter un peu plus lorsquelle fit entrer un second doigt et entreprit de faire des allers-retours. Et toujours ma queue défonçait sa gorge, tandis que mes mains sur sa tête lui imposaient le mouvement.
Lorsquelle trouva ma prostate, cela me fit comme une décharge électrique. Je plaquai sa tête contre la base de mon sexe et je déchargeai dans sa gorge quatre longues rasades de sperme quelle avala instantanément. Elle fit faire quelques derniers allers-retours à ses doigts, puis les sortit de mon anus. Elle releva alors la tête et me regarda avec son meilleur air de chienne.
Elle était ma salope. Ma chose prête à tout pour jouir et me faire jouir. Je mendormis pour de bon sur ces pensées et dormis dun sommeil sans rêves.
Au matin, je la découvris vêtue uniquement de lun de mes t-shirts, trop grand pour elle. Elle navait pas tenté de remettre son string bleu ciel, qui navait pas quitté mon pantalon.
- Tu peux le garder, me dit-elle. Cadeau !
Elle ajouta un clin dil. Rien que de savoir quelle allait rentrer chez elle, nue et recouverte de foutre séché sous sa robe affriolante, mémoustillait un peu. Elle allait croiser des gens qui lorgneraient à ses seins sans savoir que la nuit davant cétait moi qui les avais sucés, ou à son cul, sans savoir que son anus était défoncé. Et je bandais de nouveau.
Je la laissai tranquillement prendre sa douche, et lorsquelle sortit de la salle de bain, nue, je lui tendis sa robe.
Je restais, les bras en croix, étendu sur le lit. Bientôt elle fut de nouveau sur ma queue quelle extirpa de mon boxer. Elle ne le descendit pas. Elle prit mon gland entre deux doigts et le frotta lascivement. De son autre main elle agrippa mes testicules, quelle fit rouler entre ses doigts. A nouveau, jétais dur comme fer, et ma salope soccupait de son jouet préféré.
Je jouis à nouveau, et le foutre partit sur sa poitrine et coulait jusque dans son décolleté. Jy précipitai immédiatement ma bouche et léchai son sein en récoltant en même temps mon sperme.
Bientôt elle dût me laisser et rentrer chez elle. Mais elle me promit vite un autre rendez-vous.
Aussi, le soir-même, une idée commença à germer dans mon esprit. Je pris mon téléphone portable et lui proposai un restaurant, pour le lendemain soir. Elle accepta.
Entre mes doigts, je faisais pensivement rouler son string bleu ciel.
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